8.2: Empathie

Empathy
JoVE Core
Social Psychology
A subscription to JoVE is required to view this content.  Sign in or start your free trial.
JoVE Core Social Psychology
Empathy

9,493 Views

02:34 min
February 12, 2020

Overview

Some researchers suggest that altruism operates on empathy. Empathy is the capacity to understand another person’s perspective, to feel what he or she feels. An empathetic person makes an emotional connection with others and feels compelled to help (Batson, 1991). Empathy can be expressed in several ways, including cognitive, affective, and motor. 

Empathy is often confused with pity and sympathy, which are different reactions to the situation of someone else or others. Pity is simply an acknowledgement of suffering, while sympathy goes another step forward—it is a feeling of care and concern for someone. However, sympathy does not involve a shared perspective or shared emotions.   

Research evidence supports that we clearly need empathy to promote kindness and cooperation (De Vignemont & Singer, 2006). However, a keen ability to respond to the mental states of observed others does not necessarily lead to prosocial behaviors. Devious individuals, such as psychopaths, may use these emotional abilities to trick their victims.

Development

Cognitive empathy, also known as theory-of-mind, begins to increase in adolescence and is an important component of social problem solving and conflict avoidance. According to one longitudinal study, levels of cognitive empathy begin rising in girls around 13 years old, and around 15 years old in boys (Van der Graaff et al., 2013). Teens who reported having supportive fathers with whom they could discuss their worries were found to be better able to take the perspective of others (Miklikowska, Duriez, & Soenens, 2011).

This text is adapted from OpenStax, Psychology. OpenStax CNX.

Transcript

Dans un cadre social, certaines personnes peuvent « voir » ou « ressentir » d’autres personnes – même des étrangers avec lesquels elles pourraient autrement éviter d’interagir – d’un point de vue et d’un niveau de reconnaissance différents, sans ajouter leurs propres préjugés ou auto-influences.

Cet aspect fondamental des interactions sociales s’appelle l’empathie – la capacité d’expérimenter et de comprendre par procuration l’affect des autres.

Par exemple, lorsque l’empathique observe quelqu’un en deuil, peut-être pour un animal de compagnie décédé, il peut appliquer un peu d’imagination et de sens à partir d’une expérience relatable pour être pleinement conscient de la souffrance que l’autre personne traverse.

D’une part, ressentir réellement la dévastation et le désespoir sévères de cette personne est connu sous le nom d’empathie affective. Dans cet exemple, en raison du contexte défavorable, le processus est appelé empathie négative.

D’autre part, pour exprimer une autre distinction, l’empathie cognitive, l’observateur comprend les émotions que quelqu’un d’autre ressent à travers le point de vue de cette personne.

Dans une autre situation, comme découvrir qu’un ami a gagné à la loterie, le spectateur peut maintenant réagir à des états mentaux agréables, comme la joie, par le processus d’empathie positive, c’est-à-dire l’expérience par procuration des émotions positives des autres.

Bien que l’empathie puisse favoriser la gentillesse et la coopération dans les relations interpersonnelles, elle ne conduit pas nécessairement à des comportements prosociaux répandus. De nombreuses personnes peuvent ne ressentir de l’empathie que pour ceux qu’elles trouvent attirants ou similaires à elles-mêmes. De plus, trop de dons peuvent entraîner une culpabilité excessive et un comportement de don autodestructeur.

Heureusement, une personne peut délibérément modifier le niveau d’empathie avec lequel elle réagit, en fonction de la situation particulière et du style de régulation des émotions.

Par exemple, ils peuvent choisir de cultiver leurs liens émotionnels avec les autres en utilisant des tâches de prise de perspective. C’est-à-dire qu’ils font un pas supplémentaire pour comprendre la raison pour laquelle une personne pense et se comporte de cette manière particulière et expliquent leur point de vue.

Ou, dans le cas où l’empathie pourrait infliger des dommages personnels, directement ou indirectement, ils peuvent choisir de participer à une formation à la compassion, comme des techniques de méditation qui favorisent l’amour bienveillant – des sentiments de bienveillance envers tous les êtres humains.

Key Terms and definitions​

Learning Objectives

Questions that this video will help you answer

This video is also useful for